
https://youtu.be/RVD8Tfo7xpM

Classe d'Approfondissement en Arts Plastiques -Gagny


Avec Catherine GRASSE


































Workshop peinture protocole /concept /série -mercredi 13, jeudi 14 et vendredi 15 novembre 2019
Biographie
Vit et travaille à Montreuil, diplômé de l’ENSBA Paris
Professeur à L’ÉCOLE Nationale Supérieure d’art de Dijon






Philippe MAILHES propose aux étudiants à partir d’un énoncé communiqué (« soit une surface(s) plane(s), soit un médium -la peinture ou le dessin, soit des axes géométriques simples, soit une succession de choix préalables (divisions de surface, progression numérique, etc.), soit une réalisation à main levée ou à l’aide d’outils traditionnels, soit enfin une part de hasard assumée -inhérente au système mis en place ») de mener un travail qui permettra d’expérimenter les contraintes qu’ils se seront données. « La finalisation seule permettra d’appréhender la qualité plastique de la production. Le travail devra prendre en compte l’espace, les conditions … dans lesquels il sera disposé; que ce travail soit autonome ou en lien direct avec le contexte architectural. »

















« L’Horizon des événements » du 9 novembre au 1er décembre 2019

Avec les plasticiens sonores
Méryll Ampe, Matthieu Crimersmois, Cameron Graham, Frédéric Mathevet, Célio Paillard, Colin Roche, Hélène Singer
L’horizon des événements
L’horizon des événements désigne la limite ultime où la lumière reste visible aux abords des trous noirs. L’horizon des événements est le seul moyen de repérer lesdits trous noirs. Il s’agit d’un point limite, d’un point de basculement qui peut métaphoriquement représenter l’œuvre plastique sonore, sur le seuil.
Les productions plastiques des artistes sonores sont insaisissables. À la manière des specifics objetsthéorisés par Donald Judd, ils ne sont jamais vraiment des sculptures ou des installations, des objets picturaux ou graphiques. De la même manière, ils n’engagent jamais complètement ce que l’on considère traditionnellement comme une performance. Ils sont tout cela à la fois, autant qu’autre chose. Ils sont des objets hybrides, métis, sans assises fixes. Leurs spécificités sont d’être transdisciplinaires d’une part, et d’être fluides d’autre part : ils sont pris dans le flux des sons à venir ou des sons récoltés, ou celui de l’activation qu’ils supposent ou dont ils sont le témoignage.
Ces œuvres sonores sont des « ruines à l’envers », des objets qui promettent une potentialité de choses à construire. Objets sonores, corps sonores, partition, interprète et interprétation, écoute et jeux sont aux prises avec cette ambiguïté inhérente à la création en art sonore, et propose des œuvres mutables, toujours en mouvement.
Frédéric MATHEVET








https://vimeo.com/user35729833/review/374213164/253cd4002f (extrait)

