« L’art corporel vidéoprojeté« , resulte d’une performance, à partir de laquelle je me suis projeté sur le corps, un dessin de tatouage photographié, retouché.
Ecorce
« Écorce »,
Sculpture,
Papier à dessin, carton,
120x52x52cm
Afin d’introduire la notion de transition sur le plan plastique, j’ai réalisé cette sculpture qui fonctionne presque comme une installation puisque qu’elle tourne sur elle même, elle dépend ainsi de la lumière projetée avec laquelle un jeu d’ombres s’installe faisant voyager continuellement des formes graphiques.
Autoportrait au jardin -Dyptique-
Autoportrait au Jardin – Dyptique
Coloris Socculus
Coloris Socculus
Sculpture
Acrylique sur carton, socle en bois
180 x 160 x 200 cm
Peinture-sculpture sur socle, construction et déconstruction de la peinture vers une réalisation d’une sculpture en volume, comprenant le socle.
Soclo-sculpture 2
Soclo-sculpture 2
Sculpture
Acrylique sur carton, socle en bois
105 x 107 x 147 cm
Soclo-sculpture
Soclo-sculpture
Sculpture
Acrylique sur carton, socle en bois, bâtonnets de colle
100 x 120 x 197 cm
(sans titre)
(sans titre)
Gouache sur carton
52 x 188 cm
(sans titre)
(sans titre)
Gouache sur carton
94 x 104 cm
Le lieu idéal
Le lieu idéal pour moi est un lieu qui se trouve être l’intérieur du corps, car c’est un milieu qui m’attire et me fascine. On ne peut s’en faire qu’une idée à laquelle j’essaye de donner forme dans ma pratique. L’ensemble de mes travaux de l’année forme d’ailleurs un autre lieu idéal que je montre ici en vidéo. Je propose une sorte de voyage au travers de ce qui me tient le plus à cœur.
J’ai donc repris l’idée de l’étrangeté du corps pour construire ma vidéo. J’ai utilisé mes travaux pour créer des lieux imaginaires qui évoquent l’intérieur du corps, où j’invite le spectateur à l’explorer et le pénétrer.