
L’inquiétude vient au crépuscule, huile sur toile, 65 x 100 cm

Classe d'Approfondissement en Arts Plastiques -Gagny

L’inquiétude vient au crépuscule, huile sur toile, 65 x 100 cm
Avec Catherine GRASSE / et la modèle LÉA

Hilda RAVON, lavis et mine de plomb sur papier, double page format A5

Tara ALESSI, peinture acrylique et feutre noir sur papier, format A3






Tara ALESSI, photographies numériques N & B et filtre retouche d’image

Yann RATHJEN, encre et pastels gras sur papier kraft, format A4


Sophia MAO, outils numériques avec l’application ….



Yann RATHJEN, outils numériques avec l’application ….



Prune Chabrol, photographies numériques N & B
Avec JP FEVRIER (1)





Préparation des toiles sur châssis ; avec enduit colle de peau et gesso (images ci-dessous)




Workshop peinture / mardi 4.11.25 ; lundi 24 et 24.11.25

Vue de l’atelier de Jeanpascal Février
https://www.art-critique.com/2024/07/les-portraits-de-jeanpascal-fevrier
Né en Belgique en 1969, Jeanpascal Février vit à Paris. Son œuvre a été montrée dans de nombreuses expositions dans ces deux pays, notamment à la Galerie Bernard Jordan et à l’AhAh de Paris et à l’espace Flux de Liège. Dans son atelier d’Aubervilliers, il poursuit une réflexion sur la peinture, à travers, notamment, la réalisation de portraits.
Orianne Castel : Vous avez commencé à exposer il y a une dizaine d’années ; à quand remonte le début de votre pratique et par quoi, par quel geste, par quelle question, avez-vous débuté ?
Jeanpascal Février : Je peignais auparavant, mais j’ai débuté une pratique plus expérimentale il y a une dizaine d’années. C’est en 2013-2014 que j’ai montré des premières recherches. Cette pratique de la peinture a débuté par la référence historique, par la citation, ce que j’évite de faire aujourd’hui. Je peignais en citant des œuvres de Pablo Picasso, de Piet Mondrian et de Umberto Boccioni. Chez Picasso, je m’intéressais aux portraits d’un cubisme agressif de la fin des années trente, je les copiais pour les déstructurer à des fins d’en faire autre chose. Chez Mondrian, j’aimais ses tableaux constitués de « + » et de « – » réalisés de 1912 à 1917. Je déplaçais ces éléments pour créer des compositions autrement « minimales ». Par ces références tutélaires, j’affirmais paradoxalement un besoin de singularité. C’est que l’œuvre historique nous enseigne tout autant le point de départ que l’ouverture comme dimension inconnue au fait de peindre. Enfin, je faisais référence à cette sculpture d’Umberto Boccioni, intitulée Formes uniques dans la continuité de l’espace, de 1913, ou L’Homme en mouvement dont la beauté féminine et masculine est pour moi d’une ambivalence exemplaire. Par ces œuvres de citation, il me plaisait de faire de la copie et du déplacement le moteur de la recherche, pour signifier sans doute que la création en est toujours plus ou moins dépendante. Ces trois artistes, de mon point de vue, expriment les orientations du XXe siècle ; Picasso incarnerait la figure de « l’iconoclaste », Mondrian, celle du « scientiste » et Boccioni, celle de « l’idéologue ». Pablo Picasso sera le premier à déconstruire la représentation humaine sans vergogne. Dans ses Écrits français, Piet Mondrian envisage que la peinture peut se réaliser autrement, à travers l’architecture, le design, au service du social. Quant à Boccioni, il sera le théoricien du futurisme, empreint d’idéologie, dont le radicalisme versera nombre de ses amis dans le fascisme mussolinien. Je déplore aujourd’hui combien l’idéologie l’emporte sur le politique et ouvre à nouveau des perspectives funestes.

Copie #47, technique mixte sur feutre et bois, 70 x 100 cm, 2018
Workshop espace sonore /mardi 14.10.25, jeudi 16.10.25 et vendredi 17.10.25


Steganography and Turntablism : A Live Performance-Lecture by Matthieu Crimersmois

Workshop photographie argentique /vendredi 10.10.25

“La relation entre le photographe et le tireur est très importante. Il faut écouter le photographe, comprendre ce qu’il veut pour arriver à retranscrire ses envies sur le papier. On finit par créer des liens amicaux et cela développe une vraie confiance de travail. Il n’y a pas deux photographes pareils, et c’est ça qui me plaît, c’est que c’est différent à chaque fois.” Laurent HUTIN
Avec Matthieu CRIMERSMOIS





Improvisation sonore / environnement sonore -avec Apollonie MOROT-SIR et Ivann HALLEUR





Improvisation sonore / environnement sonore -avec Lucy DAMBRUN et Ruben HOUPLAIN




Improvisation sonore avec Cécile SOUBRIER
Avec Matthieu CRIMERSMOIS




Ivann HALLEUR et Sophia MAO / Improvisation sonore








Improvisation sonore de Sophia MAO /sur images « recette de cuisine »
Avec Catherine GRASSE / et la modèle LÉA

Yann RATHJEN, crayon graphite sur papier, format A3

Yann RATHJEN, outils numériques avec l’application …

…, outil graphique numérique

Tiphaine BARRET, encre et crayon de couleur sur papier, format A3

Tess KONÉ-GUILLAUME, outil graphique numérique

Apollonie MOROT-SIR, encre de Chine et collage sur papier, format A4

Sacha ANDRUSIN, feutre nor sur papier, format A4
Avec Laurent HUTIN






Tirages N&B -tests /en labo


Impressions des photographies de Jean-Paul Goude par Laurent HUTIN -tireur/ filtreur au labo JANVIER -Paris ; et appareil GRAPHEX

Appareil ROLLEIFLEX









Prises de vue et pauses -Reflex NIKON D50












Prises de vue et pauses -GRAPHEX et plaques

Fin du workshop -photo du groupe classe








Développement d’un film N&B, et séchage de la pellicule